La riviera italienne:
Santa Margherita & Camogli

Après avoir quitté Portofino et repris la voiture, nous arrivons au bout de quelques kilomètres à Santa Margherita. La même impression que pour Portofino, même s’il y a quand même (un peu) plus de personnes ici et surtout le soleil qui est enfin revenu. Petite ville à l’architecture typique de la région de la Ligurie, les bâtiments colorés, comme on retrouvera à Gênes. On ne s’y attarde pas plus que ça et décidons de reprendre la voiture. On s’arrête sur les hauteurs de Santa Margherita avant de s’enfoncer sur ces routes sinueuses. Et de rejoindre notre prochaine étape. Camogli. On n’en attendait tellement rien, qu’elle nous a totalement charmé. Le soleil brillait, il y avait quelques âmes qui se baladaient. Et la mer était déchaînée. Sa jetée était si photogénique, qu’il a été difficile de faire un tri. On assimile Portofino à Saint-Tropez et pourtant j’y ai trouvé beaucoup plus de similitude avec Camogli (en laissant de côté l’aspect bling bling). Sur internet j’ai vu passer des photos de plages totalement surpeuplées, mais pour le coup en hors-saison c’était top. Au bout de quelques heures, il est temps de repartir vers Gênes par la nationale qui longe la côte. Et là, le bonheur. Lunettes de soleil, musique à fond, le soleil qui tape, on n’a jamais autant ressenti la dolce vita. On n’en oublie même la déception du matin & on est juste content d’être là ensemble, de rouler tous les deux et de ne plus vouloir nous arrêter ! L’Italie est par nous viscérale, on s’y sent bien, nos racines sont ici. 

Prochaine étape, Gênes.
Si vous pensez que Gênes ne vaut pas le détour, à tort, la ville est bourrée de charme et trop délaissée des touristes. Un bonheur pour ceux qui recherchent des chemins de traverse !

 


La prochaine fois j’espère pousser la découverte de la Ligurie jusqu’aux Cinque Terre que vous pouvez retrouver sur le blog d’Alex superbement illustrés.